Etudiant en philosophie, signataire de la circulaire initiale et collective de 1848 et l’un des douze premiers souscripteurs. Chargé par Comte en mai 1848 de porter son Discours sur l’esprit positif au préfet de police de Paris, Caussidière. Très vite en désaccord avec Comte et surtout Laffitte sur les dangers d’allier « science et théologie » via la Religion de l’Humanité. Désaccords irrémédiables. Signe toutefois la deuxième circulaire positiviste du 5 janvier 1851. Laffitte considère, le 22 novembre 1853 que « se trouvent définitivement rompues les relations qui avaient succédé à notre amitié d’autrefois ». Une lettre à Laffitte pour la bonne année en 1897, provenant de Bergerac où il semble s’être établi semble-t-il comme professeur.

Domiciles : 72, rue de l’Ouest (1849) ; 42, rue d’Ulm (1853) ; Bergerac