Fils de paysan, ordonné prêtre en 1853, il fut vicaire à la cathédrale de Tulle puis curé de Rosiers-de-Juillac (1853), vicaire à Liginiac (1857) et curé de Sérandon (1862) puis curé de Soursac (1870). A la suite d'une affaire de moeurs mal établie, il quitte le diocèse pour la Gironde et devient archiprêtre de Rauzan. Devenu aveugle en 1881. Mêlé à l'affaire de pamphlets diffamatoires contre Mgr Denéchau. L'un des fondateurs de la Société des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze en 1878.