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CARDOT Jules Pierre Léon

Naissance: 18 août 1860 à Stenay (Meuse) - Décès: 22 novembre 1934 à Charleville (Ardennes)

Société(s)
Signature :
Biographie
Botaniste.
Neveu de Philippe Dautzenberg.
laboratoire à Charleville.
Après des études sur les fougères et les phanérogames, il se spécialise dans l'étude des mousses et des lichens, la bryologie.
Il travaille au Muséum d'histoire naturelle de Paris.
Réalise de nombreuses expéditions botaniques.
La détermination des plantes des expéditions antarctiques de Charcot, Gerlache, Nordenskyold, Sackelton lui est confiée.
Après la première... (lire la suite...)
Sources biographiques
Dörfler I. 1902. Almanach des botanistes. Recueil des noms et adresses des botanistes actuellement vivants de tous les pays, des jardins botaniques et des institutions, sociétés et publications périodiques qui s’occupent de botanique. Botanist’s directory. An index of the names and adresses of living botanists of all countries, of the botanic gardens and institutes, of societies concerned in Botany and of periodical publications. 2e édition. Vienne. Anonyme 1919. Miscellaneous notes. The Bryologist, 22(3): 29-30. Anonyme 1919. Cardot's collections ravaged. The Bryologist, 22(1): 11-12. Britton E.G. et al. 1919. Resolutions upon the Loss of the Collections and Library of M. Jules Cardot. The Bryologist, 22(6): 87-88. Theriot I. 1874. Jules Cardot (1860-1934). Revue Bryologique et Lichénologique, 8: 5-13.
Bibliographie
1882. Muscinées du département de la Meuse. Catalogue des Mousses et des Hépatiques récoltées aux environs de Stenay et de Montmédy.
1885. Sur quelques mousses de la Belgique. Compte rendu de la séance du 12 février 1887 de la Société royale de Belgique, T. XXVI.
1886. Les sphaignes d’Europe. Révision critique des espèces et étude de leurs variations. Gand, C. Annoot-Braeckman 1888. Florule de l'île Miquelon (Amérique du Nord). Énumération... (lire la suite...)
Collections
Son herbier bryologique, comprenant plus de 10 000 espèces, et sa bibliothèque, sont pillés pendant les bombardements de Charleville de la Première Guerre mondiale.
Le reste de l'herbier a été acquis par le Muséum d’histoire naturelle de Paris.
Ressources